En voyant les photos de l’intérieur et de la brocante de la suédoise Elin Jensdotter Hont, j’ai eu envie de tirer un fil en évoquant le charme bohème du vintage. Je veux parler de cette manière, assez bohème de mettre en scène vieux meubles et autres objets désuets qui ont un petit côté hippie, des trucs des années 60/70.
Il paraît que les plus jeunes désertent les brocantes et les puces. Ils détestent justement ce qui rappellent les maisons des grands parents, voire des arrières grands parents. C’est bien dommage, car en cette période où l’on s’interroge sur la pollution, la sur-consommation, je trouve tellement plus intéressant de chiner que d’aller se meubler dans les grandes surfaces de meuble. On trouve tellement de choses dans les brocantes pour souvent pas chers à condition d’être patient.
En plus, cela a un charme fou, évidemment il faut doser, réparer, associer… Il ne s’agit surtout pas de reconstituer un intérieur des années 70/80, nous n’en sommes pas là, mais plutôt d’adopter un style bohème doux, chaleureux avec quelques pièces vintage. Cela va bien avec les tonalités qu’on apprécie en ce moment, les roses, les terracotta et autres bruns, les matières naturelles.
Pour ma part, j’aime bien créer des décalage avec des objets design plus actuel, un joli papier-peint… Bon ok, c’est un peu lié à des souvenirs d’enfance des années 70/80, mais pas que.
Alors, est-ce que les meubles chinés, ça vous parle ?
Souce: by Clémence, turbulences-deco.fr